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Aline Gauchat

Doctorat en psychologie

Aline s’intéresse au lien entre les mauvais rêves et l’ajustement psychosocial chez les enfants. Elle est encadrée dans sa thèse par le Dr Antonio Zadra et le Dr Jean R. Séguin.

Après un baccalauréat en psychologie avec cheminement honor, Aline Gauchat poursuit actuellement ses études au doctorat (Recherche et Intervention). Visant une carrière de chercheuse clinicienne, Aline a toujours été attirée par la recherche : « Le fait de développer sans cesse ses connaissances, les questions qui posent toujours de nouveaux défis, le mélange entre les sciences, les statistiques et le côté humain sont des éléments qui rendent la recherche vraiment excitante », précise-t-elle. 

Aujourd’hui, elle travaille sur une étude longitudinale mettant en lien les mauvais rêves et l’ajustement psychosocial chez les enfants. « L’aspect novateur du projet m’attirait. Il me permettait aussi de joindre deux sujets qui m’intéressaient et sur lesquels j’avais travaillé au baccalauréat : la psychopathologie à l’enfance et le domaine du rêve. » 

Aline est encadrée dans sa thèse par deux directeurs de recherche, experts dans leurs domaines respectifs : le Dr Antonio Zadra, spécialiste du domaine des rêves, et le Dr Jean R. Séguin, spécialiste du développement de la psychopathologie chez l’enfant. Pour elle, ce sont des directeurs en or! « J’ai besoin de personnes qui sont présentes pour moi et qui me supervisent de manière assez serrée. Ils me poussent toujours assez pour me faire évoluer sans me brusquer et sont extrêmement présents pour m’aider à travers toutes les étapes de mon projet. »

Aline travaille au sein de deux laboratoires de recherche. « Dans le laboratoire du Dr Jean Séguin, il y a des gens qui travaillent sur toutes sortes de sujets, de l’abus de substances à l’adolescence à l’effet de l’alimentation durant la grossesse sur la dépression de la mère, en passant par les cognitions dans l’agressivité chez les enfants. Dans celui du Dr Zadra, la moitié du personnel du laboratoire travaille sur les rêves alors que l’autre travaille sur les troubles du sommeil. » Selon elle, la variété du bagage de chaque chercheur permet des échanges aussi stimulants qu’enrichissants.