Sylvie Belleville
Professeure titulaire au Département de psychologie, et chercheure au Centre de recherche de l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal (CRIUGM), Sylvie Belleville est titulaire de la Chaire de recherche du Canada en neuroscience cognitive du vieillissement. Chercheure éminente, ses travaux portent sur les processus de compensation et de plasticité cérébrale liés au vieillissement, la prévention du déclin cognitif et de la démence, ainsi que l'identification précoce de la maladie d'Alzheimer.

Elle a publié plus de 250 articles scientifiques et a reçu des distinctions notables, dont le prix Léo-Pariseau et un doctorat honoris causa de l’Université de Mons. Membre de l’Académie canadienne des sciences de la santé, elle a occupé plusieurs postes de leadership. Actuellement, elle dirige le Réseau québécois de recherche sur le vieillissement.

Véronique Hivon

À titre de nouvelle experte en résidence à la Maison des affaires publiques et internationales de l’Université de Montréal, elle compte continuer à s’intéresser à ces enjeux et à travailler, en collaboration avec les milieux de pratique, à l’émergence de solutions pouvant servir de base à d’éventuelles politiques publiques favorisant le maintien des personnes aînées à domicile et la lutte contre l’isolement et la solitude, axées sur la cohabitation intergénérationnelle.

Line Grenier

Elle y mène surtout des projets impliquant des groupes minorisés (personnes sourdes signeures, membres des communautés culturelles, fans et artistes punk, notamment) dont les cultures du vieillissement demeurent largement méconnues.

Maryse Soulières
Professeure adjointe à l’École de travail social, ses intérêts de recherche portent sur les personnes âgées en situation de vulnérabilité, notamment en lien avec les situations de maltraitance, les troubles neurocognitifs majeurs et les milieux d’hébergement et de soins de longue durée.

Elle privilégie des méthodologies qualitatives, qui permettent de mettre de l’avant la perspective subjective des citoyens aînés vulnérables dont la « parole » est trop peu entendue.