Passer au contenu

/ Faculté des arts et des sciences

Je donne

Rechercher

Navigation secondaire

L'emballante connexion de l'UdeM avec la Chine

Le 22 mars, le recteur, Guy Breton, recevra un doctorat honorifique de l'Université Jiao Tong de Shanghai, l'une des cinq plus grandes universités de la Chine, où est né le réputé classement international des universités de Shanghai. La remise du doctorat est une illustration éloquente des liens qu'entretient l'Université de Montréal avec plusieurs établissements universitaires chinois.

Le 22 mars, le recteur, Guy Breton, recevra un doctorat honorifique de l'Université Jiao Tong de Shanghai, l'une des cinq plus grandes universités de la Chine, où est né le réputé classement international des universités de Shanghai. La remise du doctorat est une illustration éloquente des liens qu'entretient l'Université de Montréal avec plusieurs établissements universitaires chinois.


 

«La montée de la Chine est le récit principal de ce début de 21e siècle. En prenant la place qui lui revient dans le monde, la Chine nous ouvre les yeux sur tout un pan de la culture de l’humanité. C’est une culture fascinante, cinq fois millénaire, que nous, Occidentaux, connaissons trop peu. Voilà pourquoi il est crucial de développer les échanges entre nos universités: pour apprendre les unes des autres.»

Guy Breton

 

En fait, les étudiants chinois occupent le deuxième rang des étudiants étrangers (très loin derrière les Français, cela va sans dire), avec 302 représentants, soit 141 résidents permanents citoyens chinois et 161 Chinois titulaires d'un permis de séjour. Plus révélatrice peut-être que les seuls chiffres, leur augmentation d'année en année. Et ce qui frappe, c'est que les jeunes Chinois étudient dans une grande variété de disciplines. La Faculté des arts et des sciences ainsi que les facultés de droit et de médecine sont particulièrement attrayantes, tout comme les programmes d'apprentissage du français de la Faculté de l'éducation permanente, pour n'en nommer que quelques-uns.

Ce mouvement traduit non seulement un accroissement des ententes entre l'UdeM et les établissements chinois, mais aussi un intérêt croissant des étudiants québécois pour la Chine. Mais en Chine, les liens ne se nouent pas en un soir et, si l'Université y a aujourd'hui des amis, c'est parce que des personnes comme Charles Le Blanc, réputé sinologue et chargé de cours au Centre d'études de l'Asie de l'Est, préparaient le terrain dès le début des années 80. Puis, à la fin des années 90, c'était au tour de la Faculté de droit, avec Guy Lefebvre entre autres, de proposer des formations auxquelles les juristes chinois n'ont pu résister. Tout cela avec le précieux concours de la Direction des relations internationales. Quinze ans plus tard, la Chine fascine toujours autant et ses chercheurs sont impatients de se confronter à d'autres cultures. Et l'UdeM entend bien tirer avantage de cette ouverture.

 

 

Lire les articles

Sur le Web

Lire l'article sur UdeMNouvelles

Archives