Qu’est-ce qui a motivé votre choix à faire une maîtrise en littératures de langue française à l’Université de Montréal?

J’étais étudiante à la Faculté de musique de l’Université de Montréal au 3ème cycle en piano quand j’ai décidé de changer pour le baccalauréat en littératures de langue française. Au cours de mon parcours musical, j’ai été initiée au journalisme musical, puis j’ai eu envie d’obtenir un diplôme dans ce domaine. Je suis une grande lectrice et je trouve que la littérature est un bon moyen pour moi de perfectionner mon écriture et ma culture générale.

La littérature me permet de trouver un équilibre entre la musique et l’écriture, ces deux domaines que j’adore!

Qu’aimez-vous de votre Département?

L’ambiance! Je trouve qu’on est bien accueilli. On a beaucoup d’outils à notre disposition pour la recherche, ce qui est vraiment intéressant. J’aime aussi l’offre de cours, donnés par des professeurs spécialisés, et le fait de pouvoir échanger avec des personnalités très variées.

Pourquoi avez-vous décidé de poursuivre vos études aux cycles supérieurs?

C’est une professeure qui m’a proposé de rentrer directement à la maîtrise avant la fin de mon baccalauréat. Je n’avais pas pensé à poursuivre directement à la maîtrise, mais après cette discussion, j’y ai vu une belle occasion de m’épanouir tout en travaillant sur un sujet qui jumelait mes passions!

Quel est le sujet de votre mémoire?

Je suis en maîtrise de recherche. Je travaille sur l’auteur français Michel Butor, passionné de musique, qui parsème son écriture d’emprunts à la musique sous plusieurs formes. C’est passionnant de plonger mon regard de musicienne dans ses œuvres littéraires.

Un conseil à de futurs étudiants?

Il y a beaucoup plus de débouchés dans ce milieu qu’on ne le pense. Je conseillerais à ceux qui hésitent à s’inscrire de le faire, car on peut réellement y trouver sa voie, en suivant un cheminement qui correspond davantage à nos intérêts. Quand on étudie en littérature, on peut faire de la rédaction dans tout, mais aussi travailler dans l’édition, le journalisme, l’enseignement, les archives ou la recherche… C’est extrêmement varié !